Chapitre 1:

Dans une salle trois homme s’adonnaient à des expérience plutôt louche.

-Chef! Il est stable! fit l'un des homme.

-Très bien, nous allons le testé. rendit l'homme ainsi interpellé.

-Oui chef, mais, pardonnez-moi cette question, sur qui devons- nous le testé? interrogea le troisième.

-Sur vous. lâcha leurs chef en sortant et en verrouillant la porte.

-Chef, que faite vous? fit le premier homme en se retournant.

-Je teste notre création. fit ironiquement son chef en appuyant sur un bouton. Et je détruit toute les preuves compromettantes.

Le second homme, qui n'avait pas eu le temps de réagir, fut pris soudain de douleur. Il essayai de se rapproché de son collègue pour recevoir de l'aide. Mais ce dernier s'éloigna. Le pauvre homme laissa une trainée de sang tout le long de sa tentative de survie. Son corps se détruisait au fur et  à mesure que le temps coulait, jusqu'au moment ou il s'écrasa au sol inerte. Comme une marionnette à laquelle on aurait coupé ses fils. Sauf qu'une marionnette n'a pas de lambeau de chair pendants de tout les côtés, et ne laisse pas de trainée de chair et de sang dès qu'elle avance. Le deuxième attendit, recroquevillé sur lui-même. Au bout de plusieurs minutes il ne se passe rien, il crut donc que le danger était passé, il se releva et s'approcha de son collègue mort. Il tenta de lui parler. Il lui demanda:

-Sa va ? Tu est encore vivant ?

Comme son collègue ne lui répondait pas, il tenta de le secoué pour obtenir une réaction de sa part. Mais, avant même que sa main ne toucha son collègue, il ressenti une douleur atroce dans tout son corps. Comme si des million de petite mains tentaient de faire sortir tous ses organes en écartant veine, artère muscle et os, et de le faire implosé. Et comble de cette douleur interne s'ajouta une douleur externe. Il avait la même sensation que si des milliers de petites mains griffu lui tailladait le corps. Les deux douleurs le rendait à moitié fou. Puis, aussi violemment que les douleurs était venues, elles disparurent. L'homme, couché ventre à terre, eu juste le temps d'entendre son chef crié:

-Ça marche! Ahahahah, ça marche! Avec sa je pourrai dominé le monde entier!

Chapitre 2:

Je m'était réveillé au milieu de la nuit en sursaut. En pensant à voix haute, je me dis:

-Un cauchemar ? Il avait l'air si réel.

 Je parti faire mon sac pour les cour du lendemain en pensant:

- Ça me calmera.

Au bout d'une demie-heure je retourna me couché.

Au matin, lorsque je me levais, je me rendis compte que mon lit était trempé de sueur et que mes couette était en vrac, balancées de l'autre coté de la chambre. J’allais donc me lavé, puis me changé, avant de mettre mes drap au sale et de refaire mon lit. Une fois cela fait je déjeunais à la vas vite et partit pour le lycée.

Sur le chemin quelqu'un m'interpella:

-Attend moi Sat! je me retournais, et vis que la personne qui m'interpellait était ma meilleure amie depuis que nous somme au jardin d'enfant, son nom c'est Elodie, Elodie Dupuis, comme moi elle à 17 ans, à quelque jours près. Elle mesure aux environs du mètre 70-75 et elle était svelte. Ses cheveux blonds lui tombaient dans le creux des reins et ses yeux était d'un bleu magnifique qui rappelait la couleur de l'eau pur des bassins montagneux. Elle est très gentille, et elle aidait les personne dans le besoin. Ce que peu de personne savaient: Était qu'elle était issu d'une famille plutôt riche. Son père exerçait le métier de PDG, propriétaire multinational. Sa mère, quant à elle, était très connue dans le domaine scientifique médical. Mais la jeune fille voyait très peu ses parents. Cela allait faire 4 ans qu'elle ne les avait pas revu.

-Salut Elodie, Comment vas-tu ?

-Moi ça va, et toi ?

-Oui ça va.

-Tu est sûr? Ça n'a pas l'air d'aller.

-T’inquiète, juste un petit cauchemars c'est rien.

-Tu est sûr ?

-Oui.

-Bon si tu le dis... Mais si il y à quoi que ce soit tu me le dis, ok ?

-Ok.

-Mince, regarde l'heure on va être en retard!

Et on se mit à courir pour ne pas arriver en retard.

Nous arrivâmes juste une dizaine de minute avant le début du premier cour. On se fit interpeller par un jeune homme: cette adolescent possédait des cheveux brun coupés court, ses yeux étaient d'un vert très clair, se qui faisait un contraste avec sa chevelure. Il avait une carrure plutôt impressionnante. Il est lui aussi d'une grande gentillesse et d'une générosité absolue. Il avait aussi un grand sens de l'humour. Il se nomme Laurent, Laurent Bauch. Il nous dit:

-Tiens! Sat, Elodie, c'est pas souvent que vous arrivez à cette heure là. Qu'est-ce que vous faisiez ?

-Bas on s'est levés en retard. Ça va Laurent ? fis-je.

-Oui ça va Sat.

Elodie nous coupa, et nous dit:

-C'est pas pour vous faire chiez mais le cours va bientôt commencer.

-Oui on y vas. lui rendit Laurent en souriant.

Nous nous dépêchâmes donc d'aller en cours. Sur le chemin nous croisâmes l'une de nos camarades de classe qui nous dit d'une vois étrange:

-Ton rêve de cette nuit n'était pas un simple rêve... C'était un avant goût de l'avenir. Le malheur va frapper, et il va frapper fort. Beaucoup de personne mourront...

Laurent qui ne compris pas lança:

-Mais, de quoi tu parle ?!

Elle ne répondit pas mais lui dit plutôt:

-Tu auras un grand rôle à joué, en tant que lieutenant de Satsuki.

-Comment ça ? fit-il sans comprendre.
-Tu comprendras le moment venu. fit-elle avant de repartir.

Après deux heure de mathématique, vint la récré. Nous partîmes directement voir cette fille, Laurent fut très direct, il dit:

-Qu'est-ce que tu voulais dire ce matin ?

-Quoi ? je vous ai pas vu ce matin.

-Te moque pas de moi, tu nous as parlé de rêve, de malheur, de mort, et de rôle !

-Je... Je ne vois pas de quoi tu parles. fit-elle effrayé.

-Arrête de te foutre de moi!

j'arrêtais Laurent.

-Calmes-toi, vient on part. puis en me tournant vers notre camarade. Désolé on s'en va. Et à nouveau vers Laurent. Viens c'est pas en gueulant sur les filles pour lesquelles tu craque qu'elles vont tombé amoureuses de toi.

-Quoi ?!?! Mais qu'est-ce que tu raconte Sat ?

-Tait-toi et vient. lui fit-je à voix basse.

-Ok. fini-t-il par accepté.

Nous nous dirigeâmes donc vers un coin isolé de la cour pour parlé du fait que ne se souvenait pas de ce qu'elle nous avais dit ce matin. Elodie, qui n'avait pas dit un seul mot durant la conversation avec notre camarade, constata:

-Elle avait vraiment l'air de pas comprendre.

Laurent lui rendit:

-Si ! Elle comprenait très bien, elle faisait semblant de pas comprendre! Elle se foutait de nous !

Et ils commencèrent un débat pour savoir si, oui ou non, elle se moquait de nous. Au bout d'un moment, en ayant marre de les entendre se disputé, je fit diversion:

-Ah mince ma montre à dû tomber! Je reviens je vais la chercher. et, sur ces mot, je partis à la "recherche" de ma montre.

Je me promena la cour durant une dizaine de minute avant de retourné les voir, en arrivant je vis notre camarade en train de les espionner. Je m'approcha d'elle et dans son dos je lui criais un grand:

-BOUH !

Elle sursauta et retint un cri de stupeur. Elle  se retourna et me demanda:

-Pourquoi tu ma fais peur ?

-Désolé, c'était trop tentant vs comment tu semblant absorbée par leurs discussion. lui répondis-je en riant.

-Absorbé ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? me répondit-elle.

-Bas tu les écoutais, c'est ça que je veux dire. lui rendis-je.

-Je ne les écoutais pas! Je... Je passai juste par là par hasard! s'exclama-t-elle.

-Ah. Et tu allais où ?

-Ça ne te regarde pas!

-Ok, donc si je les appelle ça ne te dérange pas ?

-Non! Ne les appelle pas, je pars tout de suite. Et sur ces mots, elle partit en courant rejoindre ses amies.

Je nétait pas vraiment étonné par sa réaction, et pour un raison inconnus je me mis à croire qu'elle en savait plus que ce qu'elle avait dis ce matin. Je me décida à l'interrogé dès que j'en aurai l'occasion. Quand je rejoignis mes amis, Laurent me dit :

-Te voila enfin Sat, on commençai à s'inquiter.

-Pourquoi ? Tu veux qu'il m'arrive quoi au lycée ? Je cherchai juste ma montre. leurs-dis-je.

-Ouai... mais tu à quand même mis 5 minute à la trouver ta montre. me rendit Laurent.

-Bah je savais pas ou elle était, je l'ai retrouver sous un banc. fit-je innocemment.

-Ah ok, bas tu la retrouver c'est le principal, non ? me dit-il

-Oui. lui rendit-je.

La sonnerie retentit. Nous nous dirigeâmes vers les salle de classe, Nous avions 1 heure 3 de physique. Durant ce cour je m'était retrouvé assis à coté de notre camarade, ça m'allait parfaitement vus que je voulait lui parlé. Je me tourna vers elle en lui tendant un papier ou j'avais écris :

-Comment tu t'appelle ?

-Quoi ? tu est au courant qu'on est au milieu d'année, qu'on est à coté en physique et en SES et tu na pas retenu mon prénom ?

-Euh... Non désolé.

-Moi c'est Alina. retiens mon nom s'il te plait.

-D'accord, j'essayerai. Tu sais ce matin tu nous a dit à moi et mes amis des trucs étrange, mais tu ne nous à pas tout dis n'est-ce pas ?

 -Oui c'est vrai. Mais c'est trop étrange, encore hier je menais ma petite vie de fille bien tranquille, et ce matin en me réveillant je savais plein de chose, je dirais même plutôt trop de chose.

-Quel genre de choses ?

-Des choses horribles.

-Horribles ?

-Oui.

-Comment ça ?

-Par exemple, je vois des millier de personne agonisant, et mourrant à chaque instant... Je n'en peux plus! des larmes coulait sur ses joue en même temps qu'elle me passait la feuille.

-Des millier ? Mais ça ne peut pas se passer, non ?

-Je sais pas, ça à l'air si réel...